Liszt (1811-1886), Chopin (1810-1849)
Franz Liszt (1811-1886)
Après une Lecture de Dante: Fantasia quasi Sonata (1849)
Dante Symphonie (1857)
Gustave Doré (1832-1883)
gravures pour une édition de Rabelais (1854). La Divine Comédie (1861-1868) (autres illustrations)
Harmonies poétiques et religieuses (1847) d’après les poèmes de Lamartine.
Le compositeur écrit
Ces vers ne s’adressent qu’à un petit nombre.
Il y a des âmes méditatives
que la solitude et la contemplation élèvent
invinciblement ers les idées infinies,
c’est-à-dire vers la religion
Chopin (1810-1849)
Chopin : « La plume me brûle les doigts » Jean-Jacques Eigeldinger : Chopin vu par ses élèves (La Baconnière, 1979) – p. 15
« Chopin parle peu et rarement de son art. » « Jusque dans l’intimité, il se réserve » George Sand (Jean-Jacques Eigeldinger : Chopin vu par ses élèves (La Baconnière, 1979) – p. 16)
Chopin montre dans sa correspondance ses craintes et passions familiales et politiques, motivant avec ses exils ses passions musicales
Lorsqu’il arrive à Paris, en septembre 1831, il déclare: « Je ne suis là qu’en passant »
Chopin méprise les « philippards » et se dit révolutionnaire. Il prend pour modèle lord Byron, aristocrate et libre. Le prince Adam Czartoryski lui ouvre les portes de l’hôtel Lambert, sur l’île Saint-Louis. Ce dernier, condamné à mort par le tsar, réunit chez lui toute l’intelligentsia en exil.
Harmonies poétiques et religieuses d’après les poèmes de Lamartine. Le compositeur écrit Ces vers ne s’adressent qu’à un petit nombre. Il y a des âmes méditatives que la solitude et la contemplation élèvent invinciblement ers les idées infinies, c’est-à-dire vers la religion