Linguistique

Accents toniques

Structure, Sémantique

Locution

Langue

Narratologie, lecteur

_____

Jacob Ludwig Karl Grimm (1785-1863)
littéraire, conteur, linguiste, philologue allemand : contes avec son frère Wilhelm et contribution aux Deutsches Wörterbuch.

August Schleicher (1821-1868)
linguiste allemand
Compendium der vergleichenden Grammatik der indogermanischen Sprachen, tentative de reconstituer l’indo-européen commun.

Johannes Friedrich Heinrich Schmidt (1843-1901)
linguiste allemand, théorie des vagues (Wellentheorie) relative au développement du langage.

Karl Verner (1846-1896)
linguiste danois
alors que la loi de Grimm prévoit que les occlusives sourdes de l’indo-européen deviennent des fricatives sourdes en germanique commun, il trouve en 1875 que dans certains cas ces fricatives sont sonores.

Paul Jules Antoine Meillet (1866-1936) comparatiste
Esquisse d’une grammaire comparée de l’arménien classique (1903)
hypothèse d’une structure formulaïque de l’Illiade due à sa tradition orale que  Matija Murko confronte à la tradition épique de Balkans

Gustave Guillaume (1883-1960) psychomécanique du langage.

Lucien Tesnière (1893-1954) fondateur de la grammaire de dépendance (structure hiérarchique Stemma, arbre de dépendance représentant les liens syntaxiques entre les mots d’une phrase)

Louis Hjelmslev (1899-1965) linguiste danois fondateur de la gossématique (prolonge le concept sausurrien de signe : sa relation établie entre le plan de l’expression et le plan du contenu, une fois interchangée, produit un changement sur l’autre plan ; relation syntagmatiques sur une ligne horizontale, paradigmatiques sur une ligne vertiucale) rélfexions de Saussure en fondant

André Martinet (1908-1999) analyse fonctionnaliste : fonction sématnqiue, syntaique, pragmatque (Langue et syntaxte, 1962)

Emile Benveniste (1902-1976)

comparatiste, spécialiste des langues indo-européennes : Origines de la formation des noms en indo-européen (1935), Vocabulaire des institutions indo-européennes (1969) ; série d’articles entre 1939 et 1964 : Problèmes de linguistique générale (1964, puis entre 1965 et 1972 : II, 1974) confronte les propositions structurales aux interrogations des sciences (histoire, psychanalyse, philosophie, logique…)
« L’homme dans la langue »
deux types d’usage de la langue : cognitif (comme en logique, la langue est utilisée pour émettre des jugements indépendants du locuteur : Socrate est un homme,  éléments de la langue « à statut plein et permanent ») et énonciatif (je suis une femme, dépend).
=> énonciation est directement responsable de certaines classes de signes qu’elle promeut littéralement à l’existence.

La communication humaine est plus qu’animale (stimulus-réponse).
je et tu dépendent de leur position dans le langage.

Différence entre énoncé (en dehors du contexte) et énonciation (dépendant du contexte).
Le langage devient une instance discursive.

théorie de l’énonciation (1974), reprend Saussure « parole » vs. « langue » : la langue ne peut qu’être discours, acte d’énonciation (temporel, comme tout acte).

par la langue que se manifeste l’expérience humaine du temps (=/= temps défini hors de la langue)

discours (passé composé, pronoms de première et deuxième personne, déictiques, présente de l’élocution) =/= récit (passé simple et imparfait, pronoms de troisième personne, « présent continu, coextensif à notre présence propre »)

temps linguistique est lié à l’exercice de la parole car il se définit et s’ordonne comme fonction du discours (ibid.. : 73). Le temps présent est défini comme le moment où le locuteur prend la parole : le présent se renouvelle ou se réinvente chaque fois qu’un individu fait acte d’énonciation et s’approprie les formes de la langue en vue de communiquer. Le présentlinguistique est ainsi le fondement de toutes les oppositions temporelles : le passé constitue l’antériorité du moment d’énonciation, et le futur sa postériorité. Une observation majeure est en lien avec la linguistique interactionnelle qui étudie le déploiement des tours de parole dans le temps.

Noam Chomsky (1928-) grammaire générative rend compte des structures innées de la faculté de langage, vise à dépasser aussi bien l’approche structuraliste, distributionnaliste que comportementaliste dans l’étude du langage naturel.

Lucien Tesnière (1893-1954) fondateur de la grammaire de dépendance (structure hiérarchique Stemma, arbre de dépendance représentant les liens syntaxiques entre les mots d’une phrase)

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